| Un phénomène de biofluorescence, observé sur un paradisier impérial (« Paradisaea guilielmi »). RENÉ MARTIN Cliquez pour agrandir |
Des chercheurs américains ont eu l’idée, manifestement saugrenue, puisque personne ne s’était posé la question avant, de vérifier s’ils étaient fluorescents.
Leur étude, publiée en février et menée grâce à la collection d’ornithologie du Muséum américain d’histoire naturelle de New York, qui abrite toutes les espèces d’oiseaux de paradis décrites à ce jour, a révélé que 37 des 45 espèces étaient dotées de mécanismes de biofluorescence. Des parties de leur plumage, ou de leur corps, absorbent la lumière et en renvoient à des longueurs d’onde plus longues, le vert et le vert-jaune, comme le révèle cette photo de paradisier impérial (Paradisaea guilielmi).
Le Monde du 25 décembre 25
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