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Ce 9 décembre, la militante est jugée pour « appels malveillants réitérés », après une action de phoning auprès du ministère des Affaires étrangères, organisée en février 2024 par Action Justice Climat, Urgence Palestine et le Mouvement.
Les trois associations entendaient dénoncer la suspension du financement français à l’UNRWA (agence onusienne pour les réfugiés palestiniens), alors que la Cour internationale de justice alertait sur un « risque plausible de génocide » à Gaza. « L’objectif était d’attirer l’attention sur la situation dans l’enclave palestinienne, en exigeant des réponses du gouvernement, rappelle Vinca. Nous avons simplement passé des coups de fil au Quai d’Orsay. »
Une dizaine d’autres militants ont été auditionnés, écopant de mesures d’alternatives aux poursuites. Vinca risque, elle, un an de prison et 15 000 euros d’amende.
Émilien Urbach
L'Humanité du 08 décembre 2025

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