« Nous ne nous protégeons pas seulement nous-mêmes. Nous vous protégeons. (…) Nos ennemis sont vos ennemis, notre combat est votre combat, et notre victoire sera votre victoire », a martelé le génocidaire Netanyahu, en ajoutant que « son pays ferait tout le nécessaire pour rétablir la sécurité à sa frontière nord. Pour que les forces de la civilisation triomphent, l’Amérique et Israël doivent rester unis ». Les élus républicains l'ont applaudi à l'unisson.
Enthousiasmé par ces applaudissements, et feignant d'oublier la demande du procureur de la Cour pénale internationale (CPI) d'un mandat d’arrêt contre lui pour des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité, l'orateur a rendu un vibrant hommage à Donald Trump. « Je tiens à remercier le président Trump pour tout ce qu’il a fait pour Israël ».
Dehors, au même moment, la foule des manifestants ne s'est pas trompée en criant à l'unisson aussi : « Arrêtez ce criminel de guerre. »
Certains même sont allés plus loin. Ils ont retiré un drapeau américain d’un poteau sur l’esplanade de la gare de Washington, près du Capitole, et placé un drapeau palestinien à la place, a constaté un journaliste de l’Agence France-Presse (AFP).
« De l'antisémitisme ! » hurleront les partisans du génocide en cours.
Roland RICHA
Jeudi, 25 juillet 2024
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| Des agents de la police du Capitole utilisent du gaz poivre contre des manifestants propalestiniens, le jour où le premier ministre israélien s’adresse au Congrès, à Washington, aux Etats-Unis, le 24 juillet 2024. UMIT BEKTAS / REUTERS |
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