Avec cette nouvelle rubrique intitulée "Classique", mon but est de vous donner envie d'aller plus loin dans le répertoire de la musique classique en vous faisant écouter de courtes plages en lien, chacune, avec son contexte culturel.
Elle sera quotidienne et s'étalera jusqu'à la mi-août 2017
N'hésitez pas à la partager avec vos enfants et petits enfants... car en l'imaginant c'est à eux que j'ai pensés en premier. (Al Faraby)
Manuscrit du poème. |
L'Ode à la joie appelée également Hymne à la joie est un poème de Friedrich von Schiller écrit en 1785. Il est surtout connu comme finale du quatrième et dernier mouvement de la 9e Symphonie de Beethoven, devenu l'hymne officiel de l'Union européenne.
Ce poème célèbre l'idéal de l'unité et de la fraternité humaines (« Millions d’êtres, soyez tous embrassés d’une commune étreinte ! »). Son titre original est An die Freude, mais il est souvent appelé Ode an die Freude. L'idée selon laquelle Schiller avait initialement écrit un poème à la liberté (Freiheit) mais qu'il aurait dû en faire un poème à la joie est une légende romantique, apparue dans un roman de Robert Griekenperl en 1838 et fréquemment reprise depuis (cf. Esteban Buch, p. 137 et 182-183).
Ce poème célèbre l'idéal de l'unité et de la fraternité humaines (« Millions d’êtres, soyez tous embrassés d’une commune étreinte ! »). Son titre original est An die Freude, mais il est souvent appelé Ode an die Freude. L'idée selon laquelle Schiller avait initialement écrit un poème à la liberté (Freiheit) mais qu'il aurait dû en faire un poème à la joie est une légende romantique, apparue dans un roman de Robert Griekenperl en 1838 et fréquemment reprise depuis (cf. Esteban Buch, p. 137 et 182-183).